La rue de l’Ourcq aura connu des années difficiles et les travaux de rénovation auront été l’occasion de nombreux retards et conflits. Les façades borgnes sur des immeubles classés insalubres ont fleuri pendant presque vingt ans. On en trouve encore. Heureusement, quelques artistes de rue ont décidé très tôt de réhabiliter à leur manière la vie du quartier, et grâce à eux la vie a repris le dessus, y compris dit-on la natalité… Puissent les cigognes avoir toujours le dernier mot sur les vautours…fussent-ils immobiliers. (2005)
(pochoir Mosko & Cie)
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris