Que de souvenirs, que de destinées dans ces petits hôtels qui s’accrochent à leur trottoir et qui disparaissent l’un après l’autre dans les remous de la grande ville. On les appelait souvent « meublés » car les touristes d’un jour y étaient rares. On y logeait au mois, souvent à l’année et l’abri qu’ils offraient n’avait pas de prix. Comme aujourd’hui, et avec combien d’urgence!
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris