Inaugurée en 1985 dans le parc de la Villette, la géode fermera ses portes en novembre 2018 pour une longue restauration et devrait rouvrir ses portes au printemps 2024.
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris
Inaugurée en 1985 dans le parc de la Villette, la géode fermera ses portes en novembre 2018 pour une longue restauration et devrait rouvrir ses portes au printemps 2024.
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris
Il y a des bistrots où la descente d’un simple escalier peut bouleverser votre perception et vous plonger dans un monde où la réalité le dispute brutalement au rêve géométrique.
Il faut alors se laisser prendre au jeu et se lancer dans l’exploration prudente d’une nouvelle dimension…
Tenir bon la rampe? Oui bien sûr mais laquelle?
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris
Financée par souscription nationale en 1844, cette fontaine rend hommage au co-fondateur de l’Illustre Théâtre. Entouré de deux allégories, la comédie légère et la comédie sérieuse, Jean-baptiste Poquelin semble contempler avec amusement le petit panneau d’interdiction de stationner sur le trottoir pour les deux roues qu’un plaisantin a bien entendu utilisé pour appuyer le sien. Il aurait sans doute trouvé de son vivant la provocation assez bien venue.
La pêche à la ligne, vieille tradition parisienne, est aussi parfois un moment de répit pour les poissons et l’occasion pour les pêcheurs de disserter sur le temps, le niveau du fleuve, la pureté de ses eaux et toute autre sujet qu’il est si agréable d’aborder avec de vieux amis. Et tant pis si on ne se préoccupe plus guère de la ligne, jetée d’un côté, tandis qu’on regarde rêveusement de l’autre…
© gérard Laurent 2008 -pour ParisCool, les photos de Paris
A deux pas de la prestigieuse manufacture des Gobelins, la rue Berbier du Mets, ancienne ruelle des Gobelins, aligne sagement les façades magnifiques d’un des côtés du Château de la Reine Blanche, auquel on accède par la rue Geffroy. La rue a été tracée sur le lit enfoui de la Bièvre. Ici les réverbères sont plus hauts, plus élancés, les murs osent des crépis qu’aucune peinture ne viendra recouvrir et les pierres qui marquent les angles s’arrondissent pour mieux vous laisser passer. Le petit chien m’avait bien repéré et me fixait d’un oeil mi curieux, mi goguenard en suivant sa maîtresse. C’était un bien beau matin, plein de taches de lumière et d’ombres profondes et fraîches.
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris
Minuscule passage entre la rue de Richelieu et la rue de Beaujolais, le passage de Beaujolais offre au promeneur les reflets imprévus de ses vitrines, dissimulées dans l’ombre comme cette boutique de lingerie dont la propriétaire habillait et deshabillait son mannequin fétiche au réalisme inquiétant et séducteur. J’ai bien peur que la boutique ait disparu sous les coups de boutoir d’une rentabilité fuyante… (2008)
© gérard Laurent pour ParisCool, les photos de Paris
C’est au 74 du faubourg Saint Antoine qu’on peut admirer cette magnifique verrière, témoin de la splendeur passée de ce haut lieu de l’activité du meuble. Au-dessus, une gigantesque cheminée qu’on aperçoit mieux depuis le passage Lhomme, se dresse fièrement vers le ciel. Verrière et cheminée sont inscrites à l’inventaire des monuments historiques. (photo et commentaire 2006)
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